Mais si être parents ce n’était pas du tout DD…

enfants

Eh oui à l’heure où nous avons passé la barre des 7 milliards sur la planète, où certaines parties de la Terre sont oubliées, Hommes comme Nature… Je me demande s’il est bien responsable de continuer à « dynamiser » la démographie d’une envie bien humaine : le besoin d’être parents !

Si en France nous risquons peut-être d’être déclassé par les agences de notation à cause de notre dette publique, concernant notre fécondité, il ne s’agit pas de perdre la première place européenne ! Eh oui, avec plus de 2,1 enfants par femme la France a rejoins l’Irlande sur le podium.

Tout le monde se réjouit de cette nouvelle, les médias nous incitent aussi pour beaucoup à le penser. En effet, dans une situation de crise, une augmentation de la fécondité ne peut-être que favorable (meilleure consommation, meilleure croissance et cercle vertueux). A priori cela ne pose pas de problème.

Regardons maintenant les choses sous un autre angle. Nous sommes 7 milliards et la France contribue plus que les autres en Europe à accroître la démographie planétaire et nous pousse à nous poser toutes les questions qui accompagnent..

Comment pallier au manque de nourriture, d’eau, de place sur notre planète bleue plus très verte ??

Le but est juste de poser des interrogations et de voir les choses de façon différente. Est-il encore envisageable et légitime sur Terre d’inciter les citoyens à être parents ?? Ne faut-il pas penser de façon globale et regarder l’impact de l’incroyable fécondité de la France sur la planète ?

Qu’en pensez-vous ?

 

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AUTEUR

Jérôme HOARAU

Fondateur de Pourquoi-Entreprendre.fr, co-fondateur de La-Semaine.com et de creapreZent.fr, coach Efficacité Professionnelle et Parler en Public. Je suis l'auteur de plusieurs ouvrages dans le domaine de l'efficacité professionnelle et du leadership que vous pouvez retrouver ici : Livres Efficacité Professionnelle et Leadership.

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2 commentaires
  • AnneLucie Werquin

    Article intéressant pour lancer un bon débat!
    Dans la catégorie « cen’estpaslebonmomentdefairedesenfants » : il apparait un peu égoïste de faire des enfants aujourd’hui pour remplir le besoin, certes naturel, qu’est de procréer et d’assurer sa descendance, sorte de témoignage de son passage sur Terre. Egoïste donc puisque comme tu le soulignes dans cet article, comment nourir les 10 milliards qui peupleront bientôt cette Terre. Si certaines vidéos d’animation « choc » sont un aperçu de ce qui nous attend réellement (Amoindrissement des ressources naturelles, migrations importantes des populations, violences et guerres civiles pour avoir accès à l’eau, 1 humain sur 3 possédant une arme…) alors clairement, qui veut donner ce genre de vie et de fututr à ses enfants?
    Dans la catégorie « nousavonsquandmêmebesoind’enfants »: Comme le dit le titre de la catégorie, faire des enfants est un besoin. Si on prend l’exemple de la politique de l’enfant unique en Chine, certes ça nous rassure, nous occidentaux, de savoir que le géant chinois aura moins de main d’oeuvre et de ressources pour conquérir le monde d’ici 2050, et que par la même occasion les industries françaises seront moins tentées de délocaliser dans ce pays (même bon, elles trouveront à s’implanter ailleurs, je ne me fais pas de soucis pour elles!). Si l’on controllait trop les naissances donc, nous risquerions de manquer de ressources, de main d’oeuvre. Qui assurera les retraites? Nous ne pouvons pas combiner le système des retraites tel que nous avons en France et une réduction significative des naissances. Nous aurions un manque d’actifs trop importants pour subvenir aux besoins de la génération vieillissante précédente.
    LA solution: Il n’y en a pas vraiment. Quoique vue la conjoncture économique incertaine, les conditions sociales se dégradant, les français vont peut être adapter automatiquement leurs comportements, notamment en termes de natalité. Personnellement, j’attendrais de pouvoir assurer un futur confortable (environnement, système de valeurs, noyau de personnes sur lesquelles compter…) avant de me lancer dans cette aventure parentale.

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